Mais où est cette île ??

[ Avant de m'envoyer des sans-coeur sur la poire, je te préviens que Saix n'a pas encore mis ma fiche de compétences en ligne ^^ ]


Fran arriva dans un petit tripot assez bruyant. Une épaisse couche de fumée stagnait au plafond, une odeur d'alcool rance imbibait l'air... Les ivrognes présents se turent en la voyants entrer. Tous al dévisageaient avidement. La Viéra ne fit pas attention, comme toujours, mais restait sur ses gardes.
Elle ne se trouvait pas là par hasard, elle avait vu l'annonce d'un pirate qui était à la recherche d'une carte. Elle avait prit cette quête comme un alibi pour chercher Balthier : s'il trésor il y avait, il ne devait pas être loin.
Fran se dirigea vers le comptoir et interpela l'homme sur sa droite :

"Excusez-moi. Je cherche l'homme qui est à la recherche d'une carte. "

L'homme tourna sa grosse face rouge, aux yeux vitreux de chien battu à cause du rhum vers elle et sembla la regarder sans la voir...

"- Héhé, mais qui voilà..."

Deux ou trois hommes se levent, et s'approchent dangeureusement de Fran, une étincelle de perversité dans les yeux... Ils commencent à l'encercler, et à la reluquer sans retenue. Petit à petit, toute la taverne commence à se lever, et les hommes se mettent à parler, doucement d'abord, puis de plus en plus vite et fort : très vite, la pièce se change en une bagarre générale...

Que décides-tu de faire ? Tu peux profiter de la "fête" pour fouiller les tables, ou sortir, avant de te recevoir un coup.

l'ambiance était rapidement devenue explosive. Les hommes de cette tavernes était vraiment des porcs, Fran espéra juste qu'il n'en était pas de même pour les autres de ce monde...

Plus personne ne faisait attention à elle. Vu les circonstences cela aurait dû soulageant mais pendant qu'ils se battaient, personne n'était en mesure de lui répondre, et ça, c'était gênant... Par "chance", un ivrogne valsa dans un coin de la salle et semblait être sonné par le coup. La Viéra se dirigea dans sa direction, sans vraiment prêter attention à la bagarre, elle évita quelques coups (par pur réflexe) et arriva devant l'inconnu.

Elle s'accroupit devant lui :

"Excusez-moi, je suis à la recherche d'un homme qui cherche une carte... Peut-être savez-vous où il se trouve ? demanda-t-elle."

L'homme la regarda d'un air idiot, il semblait ne plus se rendre compte de ce qu'il se passait. Exédée, Fran l'empoigna part le col de sa chemise et le traina dehors. Elle le laissa tomber sur le sol, attrapa un seau, qu'elle éspérait rempli d'eau, et le lui retourana sur la tête.

L'effet fut immédiat: me badaud sursauta, ouvrit et ferma la bouche plusieur fois comme un poisson, jura et finit par fixer son regard sur elle. Bien qu'il semblait avoir repris ses esprits, l'air de stupéfaction qu'il abordait montrait clairement qu'il ne devait pas en revenir de ce qu'il avait devant lui.

Fran s'accroupit une seconde fois :

"Je cherche un homme, qui est à la recherche d'une carte. Peut-être le connaissez-vous, dans ce cas pouvez-vous m'indiquer où il se trouve, s'il vous plait. demanda-t-elle"

Un rire gras et sonore sortit de la bouche de l'homme : il riait, encore ivre, et lorgnait Fran, tout en montrant un point du doigt... Il désigne une petit barque, dans laquelle dort un homme, qui serre contre lui toutes sortes d'objets, dont un gros sac noir.
Se relevant, l'homme fait un mouvement de pied qui te mets à terre. Le temps de te relever, il est déja parti.
Néanmoins, un petit médaillon en or est tombé d'une de ses poches :

"Compagnie 17"...

[Gain d'un objet : Médaillon "Compagnie 17" ]

Fran se releva en maudissant cet ivrogne. Son regard fut alors attiré par un objet sur le sol que l'homme avait sans doute perdu : un médaillon. Y trouvant un juste dédomagement pour l'avoir fait tomber, la Viéra prit l'objet et l'attacha à son "armure".

Elle se dirigea ensuite vers la barque. ce n'était qu'une épave... a ce demander comment elle pouvait encore flotter : le bois était pourri à plusieur endroit, il y avait de nombreuses trous au dessus de la ligne de flotaison (heureusement pour son occupant) et elle craignait d'y trouver des vers...

Fran était un peu rétissante à réveiller l'homme dans la barque, après tout, chacun à besoin de sa nuit de sommeil... Cependant, elle avait bien conscience qu'elle ne pouvait attendre là jusqu'au matin. Elle se pencha donc et seccoua doucement l'endormi :

"Excusez-moi de vosu réveiller, je viens pour vous aider à trouver la carte..."

L'homme grogna, fit un geste de la main pour se dégager de la prise de fran et se tourna de quelques degrés dans l'embarcation.

*Visiblement ce sont tous des sac-à-vin dans cette ville... se dit la Viéra*

Elle le seccoua un peu plus fort mais rien n'y faisait. L'homme refusait de se réveiller. A nouveau exédée, elle alla chercher un autre seau d'eau (ou du moins d'un liquide qui y ressemblait..) et le retourna sur l'homme.
Ce dernier se réveilla en sursaut et manqua de retourner la barque.

Fran saisit alors le sac noir pour l'empêcher de tomber à l'eau et se présenta à nouveau alors que l'homme hurlait des insultes au voleur de sac :

"Excusez-moi de vous réveiller ainsi, je suis là pour vous aider à trouver la carte... A moins que je ne me sois trompé de personne..."

"- NAN MAIS CA VA PAS OU QUOI ? Qu'est-ce qui t'arrives, à réveiller les gens comme ça, t'en veux une ou quoi ?..."

La suite étant remplie de caractères pee appréciables, nous dirons que l'homme hurle tellement fort qu'on ne comprend pas ce qu'il dit.
Après deux bonnes minutes de monologue, il s'arrête, reprend sa respiration, et semble comprendre qui s'adresse à lui :

"-Nyéh, hein ? Quoi? Euh ... Ouais...
Oui oui, c'est moi, Daniel Bokruf, je cherche... un trésor !"

Tout en disant cela, il se releve, chancelant...

"-Mon seul problème, c'est que je n'ai pas la carte... Jme dmande si elle est pas dans la forteresse... Vous pourriez aller la chercher pour moi?"

Sur ce, il s'effondre au sol, et ronfle...

La forteresse ? Pas plus d'indication ? Soit... Fran haussa les épaules, si c'est là-bas qu'elle devait aller.
La Viéra regarda autour d'elle, il n'y avait là que des maisons délabrées, des auberges et des magasins crasseux. Elle leva ensuite les yeux et vit, dans le ciel, la sihouette d'un batiment impressionant.

*Ca doit être ça, se dit-elle*

Elle tourna les talons et emprunta une ruelle adjacente. Elle perdit alors momentanément son objectif de vue et faillit se perdre dans le dédales de rues obstruée de caisses. Elle arriva après quelques minutes de parche devant la batisse.

Il y avait deux gardes devant les portes. Ils ne semblaient pas heureux de se trouver là. Fran resta un moment dans l'ombre pour les observer : ils ne bougeaient pas, il y avait donc d'autres hommes en faction dans les alentours...

La jeune femme imagina vite fait une excuse pour se trouver là si tard puis s'avança vers les portes. Les soldats le repérèrent bien vite...

A peine aperçurent-ils la silhouette de la jeune femme que les gardes tendirent leur arme, en l’occurrence des lances ornées de piques affutées à leur bout, vers Fran. Constatant que l’individu n’était autre qu’une jeune femme et non un de ces ivrognes titubant sous l’effet de l’alcool, ils se détendirent un peu, non sans rester vigilants. Même le visage le plus aimable pouvait dissimuler une profonde perfidie.

"Que voulez-vous Mademoiselle ? Nous ne pouvons vous laisser entrer."

Son compagnon se pencha alors vers lui, lui chuchotant quelques mots presque imperceptibles dans l’oreille. Le garde rétorqua avec une pointe d’incrédulité.

"Un membre de la compagnie 17 ? Si c’en est véritablement un, il devrait déjà nous avoir montré le médaillon !"

Choix :
- Entrer de force et se battre contre les gardes au risque d'alerter toute la forteresse
- Montrer le médaillon de la compagnie 17

"Un membre de la compagnie 17 ? Si c’en est véritablement un, il devrait déjà nous avoir montré le médaillon !"

Fran regarda l'homme d'un air parfaitement neutre. Le médaillon qu'elle portait allait donc lui ouvrir les portes de la forteresse ? Dans ce cas, elle n'avait nullement interêt à attaquer les gardes. De toute façon, même si elle s'en sentait capable, les attaquer ne serait pas une bonne idée : qui sait combien d'autres hommes arriveraient alors...

Elle détacha le médaillon de son armure et le montra aux gardes.

Dans un cliquetis confus, les gardes se mirent immédiatement au garde-à-vous devant le médaillon que levait Fran :

"- A vos ordres, Sergent !"

Ils jettèrent un regard effrayé sur la Viera, et attendaient ses ordres, dans un salut plus que martial...

La Forteresse t'es ouverte, tu peux faire à peu près ce que tu veux, mais fais attention à ce qu'on ne découvre pas ta mascarade !

[HRP: oooh làlà la chance =3 une tite forteresse avec des tits gardes rien que pour mouuua >< MOUHAHA miam :p]



Fran eut un mouvement de stupeur en voyant les gardes se mettrent ainsi au garde à vous... Mais elle se reprit vite en songeant que ce genre de réaction lui couterait son plan. Elle avait vraiment eu de la chance de tomber sur cette ivrogne.

Elle inclina doucement la tête pour saluer les soldats et entra dans la forteresse. Les couloirs de pierre de taille (ca se dit je pense...) étaient éclairés par des flambeaux aux flammes blafardes.
La Viéra se trouva bien vite perdue dans ce dédale de couloirs. Il y avait des portes tant sur sa droite que sur sa gauche et elle ignorait complétement laquelle pousser et les pousser toute n'était pas non plus la solution. Il ne lui restait donc plus qu'à déambuler jusqu'à trouver quelqu'un qui pourrait l'aider...

Alors que tu erres dans les couloirs, tu te rends compte très vite que tu es perdue...
Tu es à une intersection :
-Il y a un couloir à gauche, où sont postés trois gardes. Ils n'ont pas l'air de t'avoir remarquée
-Un autre couloir va vers la droite, c'est de là où tu viens
-Le dernier couloir part vers le Nord, et tu peux voir une porte d'allure simple au bout.


Tu peux donc accoster les gardes, aller voir cette porte, ou rebrousser chemin....

Arrivée à un croisement, Fran hésita : si elle allait vers les gardes pour leur demander son chemin, elle de se faire démasquer mais d'un autre coté, elle ne pouvait pas passer son temps à errer dans le batiment...

Apparemment, ils ne l'avaient pas encore vue; la Viéra resta donc un moment dans l'ombre pour voir si quelqu'un arrivait. Mais personne ne vint. La jeune femme se décida donc et se dirigea vers les gardes.

"Bonsoir, messieurs, leur dit-elle. Je cherche l'endroit où sont entreposées les cartes marines. Je passe mon temps sur mer, je ne connais rien à ce batiment. Peut-être pourriez-vous m'aider ?"

Son plan était risqué, certes, mais c'était le seul moyen qu'elle avait de retrouver cette carte. Et puis, elle avait toujours la médaille qui lui avait ouvert les portes de la forteresse...

"- Mais bien sûr Madame, prenez la porte au fond à gauche, vous arriverez dans la salle des cartes !"

Il n'est pas difiicile de comprendre que les gardes ne t'ont absolument pas adressé un regard. Tu as donc l'emplacement précis de la salle des cartes, il ne te reste plus qu'a y aller !

"- Mais bien sûr Madame, prenez la porte au fond à gauche, vous arriverez dans la salle des cartes !"

Les gardes n'avaient même pas fait attention à elle. Soit parce qu'il faisait trop sombre, soit car manque d'interêt... ou autre chose...

Quoiqu'il en soit, elle savait maintenant où se trouvait les cartes. Fran se dirigea donc vers la salle en question. Elle poussa la lourde porte et se retrouva dans une piece remplie d'étagère. Sur ces dernières s'empilaient des dizaines et des dizaines de parchemins... Que dire, des centaines ! Tous entassés. Aucune indication ne permettaient de savoir quelle carte contenait quelle route.

La Viéra soupira... Tu m'étonnes que cette carte n'est pas facile à trouver ! Ne perdant pas une seconde, elle se mit en quête du parchemin.

Elle retourna et fouilla tout un pan du mur droit quand elle tomba sur une carte scellée de cire rouge.

Alors que tu récupères la carte, en essayant de l'ouvrir, tu constates qu'elle résiste... Dans le bureau, où l'on entend le bruit de la mer, il y a un petit meuble. En t'approchant, tu remarques un petit billet, où sont inscrits les mots :

"La position de l'île de Mauh est inconnue de tous, le seul moyen de la trouver est d'ouvrir la carte du trésor de Kross.
On dit qu'il faut une clé, mais la vérité est bien loin de là, pour desceller ce précieux parchemin, il suffit de le placer dans son élément..."

Sur ces mots énigmatiques, la porte s'ouvre à la volée : les soldats du couloir semblent avoir compris qu'ils ont été roulés...

Tu as deux solutions :
-Combattre les trois soldats
-Sauter par la fenêtre, au risque d'abimer la carte

La porte s'ouvrit à la volée : les deux soldats qu'elle avait questionné la regardaient d'un air menaçant, leur amre à la main. Fran les concidéra un instant et réfléchit à ce qu'elle allait faire : se battre ou sauter ?

Hors de question de se battre, elle n'avait pas l'avantage.

Sauter risquait d'abimer la carte et elle risquait de s'abimer aussi...

"...pour desceller ce précieux parchemin, il suffit de le placer dans son élément..."

Son élément ? Ce ne pouvait pas être l'air, sinon il serait déjà ouvert. La terre ? Pourquoi pas. Le feu? A garder en dernier recours... Eh bien, elle n'avait plus qu'à tester l'eau.

La Viéra lança un regard amusé aux gardes puis courut en direction de la fenêtre et plongea au travers. La mer était beaucoup plus bas qu'elle ne le pensait... Elle se mit en boule, serra le parchemin dans sa main et attendit de toucher l'eau.

Après un certain temps passé à dériver sur l'eau, tu finis par accoster sur terre, non loin de la taverne où tu as débuté tes recherches. Tu y retrouves d'ailleurs le pirate qui t'a demandé la carte, et te la redemande d'ailleurs. En lui tendant la carte, tu t'apperçois qu'elle est ouverte désormais, mais le pirate ne semble pas enclin à te la montrer...

En revanche, il te tend un gros sac, contenant :

-200 munnies
-2 potions
-1 bouteille de rhum

Ta mission est donc terminée, tu l'a remportée à la perfection !

Tu gagnes 50 points coeur

{A bientot pour ne prochaine mission, le topic est verrouillé =^^= }