Louis Higgins [ validé ]

------------------------------------------------------------------------------------
Nom/prénom : Higgins, Louis

Age : 17 ans

Rang : Humain, Assassin

Apparence physique : Louis est un jeune garçon, mais malgrès ses 17 ans il fait très mature physiquement - et psychologiquement - pour son âge. Les cheveux bruns, toujours en bataille, les yeux marrons, le regard toujours fier et déterminé, c'est un garçon qui n'a pas l'habitude de montrer ses instants de faiblesse. Il porte une veste bleue ample, des pantalons noirs et des grandes chaussures. Le collier à son cou signifie " est son propre maître ". Il s'est fait tatoué sur le torse son chiffre favori, le 13, en chiffre romain, censé lui porter chance.

Caractère/mentale : Louis Higgins est une vrai boule d'énergie, il est difficile de l'arrêter, il court, il bondit, joyeux de vivre, il est l'incarnation de la bonne humeur, un véritable bout-en-train. par contre, quand il est sérieux ou qu'on le provoque, il est insolent, sûr de lui, parfois provocateur. En combat, il ne se laisse jamais impressionner, il à toujours l'air de savoir ce qu'il fait, même si lui même il n'en est pas persuadé, montrant rarement ses faiblesses. Même s'il est plutôt solitaire, il n'hésite pas à se mettre en danger pour essayer de sauver un camarade ou une personne en grave danger. Malgrès que ce soit un assassin, Louis n'en fait qu'a sa tête, il refuse les missions ou il dois tuer complètement une cible, et il est capable de refuser une mission sur un coup de tête ou si la personne ne lui plait pas.

Aime : se déguiser ( c'est un as du déguisement ), s'amuser, s'entraîner, le lait, tuer des sans-cœurs

Aime pas : les personnes cruelles, les gens qui veulent voler les cœurs, qu'on lui manque de respect

Histoire : c'est très jeune, exactement à l'âge de 10 ans, que le jeune Louis Higgins à eu une vraie arme dans la main, un fusil de chasse possédée par son père, et c'est très peu de temps après que le garçon à décidé d'apprendre à l'utiliser à la perfection, voulant devenir comme son père, un grand chasseur. Ce dernier lui fit son éducation d'homme pendent près de deux ans, deux ans ou Louis apprit à saisir une arme à feu, à viser mais surtout à tirer avec grande précision, le jeune garçon devant très vite un des meilleurs tireurs d'élite de son pays mais surtout, le plus jeune tireur de tout les temps à quatorze ans... malheureusement, cette période de gloire toucha à sa fin en plein vol, sa famille se faisant tuer par des rôdeurs pendent la nuit, pendent leur sommeil, sans avoir l'occasion de pouvoir se défendre. Le jeune garçon eut de la chance d'être chez un ami ce soir là, sans quoi, il aurait perdu la vie lui aussi. Un an après cette atrocité, Louis ayant fait son deuil de sa seule famille, il jura sur la tombe de ses parents de faire payer les atrocités de ces hommes. Il continua de s'entraîner, devenant de plus en plus fort, développant des pouvoirs faisant de lui un tireur redouté, et, le jour de ses seize ans, il retrouva les hommes qui avaient tués sa famille, ils étaient cinq, ses cinq cibles, constatant qu'ils étaient une grande organisation, nommé l'organisation des cinquante cinglés, et que certains avaient pris beaucoup de grades ; deux d'entre eux étaient restés des simples sous-fifres, deux autres d'entre eux étaient devenus importents et étaient maintenant la tête de l'organisation, et un autre n'était plus que simple informateur. Mais les tua tous, un par un, des balle fatale pour tous, car la haine qu'il avait accumulée avait fait de lui sur le moment un tueur redoutable. Cette histoire fut contée dans le pays, parfois déformée, parlant d'un garçon qui avait tué une cinquantaine d'hommes que par la force de l'esprit, ou, entend t'ont à certains endroits, qu'il leur aurai porté malheurs et qu'ils seraient tous mort mystérieusement... en tout cas, partout, le nom de Louis Higgins fut oublié dans les récits, ne parlant que d'un mystérieux garçon d'à peine dix huit ans... Il n'était plus qu'une ombre, partout... dès lors, il décida de changer radicalement de mode de vie, oubliant son passé, son village natal, le peu de personnes qu'il avait pu ne serai-ce que à peine connaître, et tira un trait sur son passé, s'oubliant presque lui même, vivant au jour le jour...

Arme/bouclier : arme à feu à une main

Animal de compagnie/ familier : /

Pourquoi avez vous choisis ce personnage? : personnage crée par moi, plus ou moins repris d'un manga que j'adore mais trafiquoté pour le forum ^^

Test Rp :

pour le test RP, j'ai décidé de bien éclaircir un passage de la vie de Louis : le meurtre de l'organisation des cinquante cinglés.


" ils m'ont tués.

Ils m'ont pris ce que j'avais de plus cher. Mais aujourd'hui, ils ont payé ce qu'ils me devaient. On parle ici, dans la région, d'un massacre comme jamais le pays n'a connu. Les titres parlent du " massacre de toute une organisation criminelle par un dangereux tueur ". Les personnes d'ici parlent entre eux d'un jeune garçon assoiffé de sang qui aurait tué par la volonté cette organisation, d'autres disent que la force de sa volonté avait suffi à les pousser à s'entre tuer. Certaines personnes racontent même qu'ils auraient aider le meurtrier à se renseigner dans la région. Mais tout cela n'est que fable.. légende que les personnes se racontent. Il n'y a plus qu'une seule personne au monde capable de raconter ce qu'il s'est réellement passé. Ceci est mon histoire.


Désert de Jaklanb, une journée chaude, terriblement chaude. Un jeune garçon fait irruption dans le seul bar du village... et commande un verre d'eau. Il le sirote. Doucement. Profitant de ce seul instant de plaisir. Il est regardé, il le sait. on le dévisage. Se demande ce qu'un jeune garçon fait tout seule dans un pays aussi sauvage. Il est interpellé par un homme plus vieux, barbu, très négligé. Il le toise.

" - hey, petit... Qu'est ce que tu fait ici? Ou sont tes parents ? reste pas ici....
- laisse moi le vieux, j'ai pas besoin de tes conseils.
- hey, petit, tu sort de ce bar immédiatement, on n'accepte que les adultes ici. Sinon, c'est moi qui te ferai sortir. "

Le garçon le regarde. le toise à son tour. Se lève du tabouret. Le regarde droit dans les yeux.. et sort. les mains dans les poches.

Une fois sorti, il s'arrête un instant, puis tourne à droite. dans la ruelle principale. La tête baissée. Puis, tourne de nouveau dans une petite ruelle. Un homme le suivait. Il arrive à son tour dans la ruelle, un couteau dans la main, mais cette ruelle est vide. Il s'approche du fond, cherchant le garçon, qui réapparaît dans son dos, le canon du pistolet posé sur la tête. Le détrousseur n'ose bouger. Le garçon lui parle, posément.

" -maintenant, tu a dix secondes pour me dire ce que je veux savoir, sinon, ton crâne tapissera la ruelle. "


L'homme n'avait, avant de finir dans une poubelle le crâne troué d'un beau trou de balle, pas tout les renseignements dont j'avais besoin, mais assez pour me permettre de continuer. j'avais décidé de commencer par l'informateur, et d'aller crescendo. Pour finir en beauté. j'avais su qu'il vivait dans une maison en ville, une petit maison modeste. j'allais agir cette nuit. Une fois attendu, je m'était infiltré par la fenêtre. Classique mais simple. était monté à l'étage. Infiltré dans la chambre... et avait attendu quelques heures avant qu'il ne se réveille. Vers quatre heures du matin, le courant d'air le réveilla et il alluma la lumière. Mon revolver pointé sur son visage. Il ne tenta même pas d'attraper l'arme dans sa table de nuit. Me regarder d'un air horrifié. La femme à coté de lui faisant de même. Un long regard. silencieux. Puis il se décida à parler.

" Si... Si tu me tue, mon organisation te traquera. Tu ne pourra plus mettre les pieds dans le pays entier sans être en danger. "

un premier coup de feu. dans la table de nuit. Puis l'arme de nouveau sur lui. un regard rapide sur la femme qui tente un geste.

" - tu-tu-tu. ne tente même pas, sinon tu finira toi aussi en tapisserie. et toi, combien de coups de feu crois tu qu'il faudra pour réveiller ton organisation ? je pense que même si je vide mon chargeur, ils ne bougeront pas d'un pouce. Alors, dis moi ce que je veux savoir... et tu n'aura pas de souffrance.
- tu peux crever ! "

mauvaise réponse. l'arme se dirige vers la fille et fait mouche, entre les deux yeux. et se repointe sur l'homme qui n'a pas eu le temps d'agir. Horrifié de voir l'impact de la balle dans le crâne de la femme et la mare de sang déversée sur le lit. Il se retient de hurler, et répond

" - tu... de toute façon tu va me tuer, ordure !!! "

l'arme tire de nouveau, dans la jambe. Il hurle. Comprend qu'il va mourir, mais que le jeune homme va lui faire connaitre pire que la mort s'il ne coopère pas. Alors il se met à table. Rapidement.



Le lendemain. Huit heures, au matin. Un attroupement devant la maison. deux personnes, un homme et une femme, ont été tués pendent la nuit dans leur chambre. aucun témoin. La police ne trouve rien pour pouvoir avoir des suspects, à part une vitre cassée. Ils concluent à un vol qui aurait mal tourné. Peu après la conclusion de la police, des personnes arrivent, un homme plutôt corpulent se démarque du groupe, parle à un policier et entre plusieurs minutes. Ressort. Puis ils s'en vont. Je repart également vers mon campement pour réfléchir pour mes deux cibles suivantes. Les deux hommes de main. Je sais déjà comment les appâter. Je me rappelle avoir vu des personnes ressemblant à la description de l'informateur au bar. J'y retourne. commande un nouveau verre d'eau. Est de nouveau dévisagé par l'homme barbu qui reviens vite à la charge.

" - tu n'a pas compris la leçon, gamin ? tu compte avoir une correction pour ne plus remettre les pieds ici?
- - tu comptes m'expulser de ton bar miteux ? dans ce cas là, vous perdez un client importent et des informations importantes sur un tueur qui dirige un nouveau trafique d'arme... "

Puis le pose mon verre, et sort. Je suis certain que mon appât va prendre. Il fonctionne quand j'ai à peine mis les pieds hors du bar. Les deux hommes que je cherchaient me suivent. le long de la ville. Jusqu'à dans le désert. Loin dans le désert. Ils devaient se demander ce que je trafiquait. S'ils savaient....


Une fois bien isolé, je me retourne. Ils me regardent, menaçants. J'ai intérêt à dire ce que je sais. Sans rien recevoir en échange. Ils me regardent, sans rien dire, attendant que je parle. Je sourit. Ils se regardent brièvement. J'en profite pour sortir mon arme et en abattre un et faire une roulade sur le coté. La deuxième balle est aussi rapide et fatale que la première, mais cette fois au cœur. Il me regarde, et tombe. Je me relève. Presque trop facile. Je m'approche des corps et laisse un mot. Puis je repart vers la ville.



retour dans le bar. Je rentre paisiblement. Les hommes me regardent bizarrement, se doutant de ce qu'il allait se passer quand il était sorti, mais ne pensant pas que ce garçon reviendrait, au contraire. Ils m'ont tous dévisagés, et j'ai à peine eu le temps de m'assoir sur le tabouret que les conversations ont repris mais plus basses, pleines de regards méfiants, interrogatifs. Je commande un autre verre d'eau que je sirote. Le dos à la salle. Attendant. Puis un homme assis à une table s'approche. Il commande une boisson.

" - tu comptes rester longtemps ici ? je serait toi, après ce que tu viens de faire, tu ne devrait pas faire de vieux os ici...
- sortie est, à peu près 10 minutes dans la même direction. Préviens les. Je les attenderai... jusqu'a ce que j'ai ce que je veux. "

Puis je me leva. Et parti. Attendre.



Chambre d'hôtel, en ville. J'ai décidé de m'offrir le luxe avec l'argent volé sur les deux dernières personnes. Sans vraiment de rancoeur, l'argent repart de toute façon pour quelque chose de plus.. légal. Je me suis posé sur le lit, et j'attend des nouvelles. Certain d'en avoir dans les jours à venir. Voire dans même moins de l'heure. Je n'avait pas lésiné sur la façon de leur passer mon message. Les deux corps bien en évidance, sûrement dégagant une odeur puante par la décomposition des corps par la chaleur du désert, une lettre sur les corps indiquant les deux noms restant que je souhaitait, rien de plus, même si c'était tout de même beaucoup demander. Ils allaient se douter que l'informateur était aussi une de mes cible. Selon mes calculs, si l'organisation des cinquante cinglés était bien composé de cinquante membres, il n'en restait plus que 47 s'ils se décidaient à m'envoyer le maximum de personnes pour me liquider. Pas très encouragant. Mais s'il fallait mourir, autant le faire en cherchant à réaliser ses convictions.

20h14. Quand je commance à me dire qu'ils ont tous eu peur et cherchent à quitter la ville car j'avait peut-être été un petit peu trop direct. Service de chambre. Quoi, encore un vieux classique ? Ils n'avaient pas trouvés mieux ? je prend mon gun préféré et va dans la salle de bain. allumer l'eau, entendre tout de suite après la porte exploser. aux pas, j'entend deux personnes. Tiens, ils m'envoyent deux tueurs.... Pour être sûr? Ces gars là n'ont pas l'air de plaisanter, ou bien ils n'ont pas trop apprécier le fait que deux personnes aient été liquidés dans le désert. Je les entend parler, brièvement, se demandant rapidement ce que je faisait. La porte de la salle de bain s'ouvre. Une femme. Beautée dangereuse et maline. Elle ouvre le rideau de douche et tire une rafale sur le mur. Dangereuse, mais nerveuse aussi. Je suis au dessus du meuble, derrière elle, derrière la porte, plus haut. Je la regarde un moment, intrigué. De longs cheveux blonds. Le reflet du miroir cassé me montre des yeux bleus magnifique. J'hésiterait presque à ce regard. mais elle me vois à son tour, et se retourne. J'ai tout juste le temps de tirer une balle. Fatale, j'ai de la chance d'avoir des reflexes.

J'ai le temps de sauter pour me retrouver face à face avec l'autre homme, je le pousse pour l'empecher de tirer et utilise un refect-shot pour l'attendre à la tête en réfléchissant sur le plafond. Lui empêchant toute réponse, toute esquive. Je me dit que la cavalerie ne tarderait pas si je reste ici, alors directement je décide de partir. Ce coup là leur montrera ma détermination, que même s'ils déplacent en premier les pièces importantes de l'échequier, j'ai toujours l'avantage de deux coups. J'ai le reflexe, un peu idiot, de sortir par la porte. Un homme guettait dans le couloir. Croisement de regard, j'ai le temps de me jetter derrière un angle pour éviter de très peu une pluie de balles très bien visée. Il sais tirer, le bougre. J'attend qu'il n'ai plus de balle et risque un coup d'oeil. Il recharge et s'est planqué. Je sort de mon coin et avance, attend qu'il jette son regard également pour tirer, le manquant de peu, me jettant de nouveau dans l'appartemment et me couchant derrière le canapé. Nouvelle pluie de balle. J'attend quelques secondes et tente un reflect-shot qui lui attend la jambe, le faisant tomber sur le genou, continuant de tirer. Je réfléchi. Ces hommes sont coriaces. Je réussi à faire une sortie vers la cuisine et ferme derrière moi la porte qui est très rapidmeent criblée de balles. Il la défonce d'un coup de pied, je sort de dessous le bar et lui met une balle au coeur. Il tombe pour de bon. Je repart dans le couloir et entend des bruits lourds de pas dans l'escalier. Plus que 44 me dis-je. Je fait marche arrière et sans réfléchir casse la fenetre et descend en escaladant habilement. Puis fait le tour pour retourner à l'entrée.

A l'entrée, deux hommes qui guettent, surpris de me voir arriver de dehors et qui n'ont aucunement le temps de bouger avant moi. j'entre de nouveau, monte à mon étage, personne dans le couloir. Ils sont tous à l'interieur. J'avance, le premier sort et se prend une nouvelle balle sans avoir le temps de la voir. Les autres, paniqués et ne comprenant pas, tentent de se barricader à l'interieur. Sans malheureusement plus de succès. Au total, huit nouveaux morts en comptant les types de l'entrée. plus que 37 au décompte macabre.... s'ils ne comprennent pas, alors là. Je ressort de nouveau, jettant un regard au coin. Plus personne. Les trouillards partent plus vite que leur ombre. Je me rend compte que, dans l'excès de violence de l'hôtel, j'ai oublié de demander ou trouver les chefs. Qu'a cela n'tienne. je me dirige vers le bar et est reçu par une volée de plomb. L'homme qui m'avait conseillé de partir. Je comprend qu'il est de l'organisation mais qu'il a peur. Il canarde l'entrée espérant m'empêcher d'entrer. J'utilise un reflect-shot pour l'attendre au bras. Sachant que ça ne l'arrêtera peut-être pas. Mais celui ci est moins tenace, il pose son arme et supplie de le laisser en vie. je m'approche, méfiant.

" - Dis moi ce que je veux savoir... je te laisserai mourir en homme.
- Les.... Les hommes de main tiennent la boutique à la sortie de la ville... Il y a une arrière boutique qu'ils gardent, et une trappe pour acceder à leur QG souterrain... sous la ville... C'est... c'est comme ça qu'il procèdent....
-merci... désolé."

je l'achève pour mettre fin à ses souffrances. Pour lui, j'ai presque de la compassion. Pauvre gars. Je me relève et part vers la boutique. devant la boutique, cinq gardes héberlués de me voir encore sur mes deux jambes. Ils tirent, j'ai le temps de sauter en faisant une roulade dans une ruelle adjacente. Je suis obligé de les tuer un par un, utilisant des refect-shot pour les deux premiers, perdant l'avantage rapidement par le nombre, mais réussisant à m'en tirer par l'avantage de cette technique. Je réfléchi, retombe à 32. Je m'approche et regarde par la vitrine discrétement, à l'interieur, une escouade entière se prépare, lourdement armée. Je traverse la ruelle et entre dans le batiment en face... me retrouvant nez à nez avec des stock de poudre. Arretant net ma respiration, j'ai une idée. Je saisie un pantalon traînant dans le local, ferme les jambes et le haut comme je peux avec de la ficelle et le rempli de poudre. Je monte à l'étage et regarde par la fenêtre, ils sont encore à l'interieur, attendant que j'ouvre la porte pour me pieger et me cribler de balles. Je descend sur le coté habilement, me met sur le coté du magasin et jette le pantalon par la fenêtre... Ce qui fait paniquer deux des hommes qui tire nerveusement. boom. au moins dix. treize pour être précis. 32 - 13.... plus que 19. Mais j'avait mal jugé la quantité d'explosif qui m'a aussi projetter un peu plus loin et sonné. Je me relève et à à peine le temps de reprendre mes esprits qu'un coup de poing me projette à terre de nouveau. Je lève la tête et voit l'un des chefs qui était sorti à cause de l'explosion et qui semble heureux de m'avoir à sa merci. Un nouveau coup de pied au visage.... puis le bruit d'une arme qui se recharge. Je regarde devant moi. Est-ce la fin ?

Pas aussi près. Non, mes parents ne sont pas morts pour laisser des tueurs agir. Pas aussi près du but. Pas pour laisser les deux pires personnes s'en tirer. Ils n'allaient pas vivre, comme je n'allait pas mourir. Je voulais vivre. Ou mourir une fois ma vengance accomplie. En finir avec ces tueurs. Même si j'en était devenu un, j'avait quelquechose de plus. Après cette turie, jamais plus tuer aussi froidement des êtres vivants ne sera aussi simple. Je voulais juste m'offrir cette vengeance. En ouvrant peut-être ma place en Enfer. Mais je la méritait. Il ne fallait pas me couper les ailes en plein vol. Alors, j'allait vivre. Et faire ce que j'avais à faire. Au moins faire ce que j'était OBLIGE de faire. Pour la mémoire. Leurs mémoires. Et tant pis si la mienne reste horrible. La leur reposera en paix.

Ce qu'il va se passer, croyez le ou non. Mais sachez que cette légende est vraie. Aussi vrai que je suis le dernier à la raconter. Je suis le seul à relater les événements vrais, non déformés. Car c'est mon histoire. Je me suis relevé. Ou, plus exactement, j'ai tué froidement cet homme avant de me relever. Par quel mystère ai-je retrouvé la force ? Par quel magie ai-je été plus rapide pour me retourner et tirer froidement, aussi précisément? je ne sais pas. Mais je pense que la volontée a été la plus forte. Je l'ai tué. Et je me suis relevé. J'ai regardé vers le sous-sol. Me demandant si j'aurais la force de tuer les 19 derniers. Mais il le fallait. Pour mes parents. Pour leur honneur. Et tant pis si le mien est sali... je voulais laver leur honneur. Mourir après s'il le fallait. Me faire une place en enfer. Mais sauvegarder leur âme au paradis. J'ai continué d'avancer. Suivant les couloirs, tout était ouvert, presque trop facile, mais bizarrement, je ne pensait pas que c'était un piège. Je suis suis retrouvé dans une grande salle, vide, avec juste un homme, au milieu, me regardant entrer. Le sang me remonte à la tête et boût. C'est le dernier. Ma dernière cible. Mais je n'ose lever mon arme. Sûrement l'émotion. Il me regarde sans amminosité, aucune. Il ne semblait pas vouloir me tuer. Après un long silence, je le regarde toujours, son regard dans le mien. Il prend la parole.

" -En réalité, le gang des 50 cinglés ne sont pas vraiment 50. Nous n'étions plus que 43. Mais tu nous a tués. Tous. Les cinq derniers membres étaient avec moi, ils ne voulaient plus se battre.. contre toi. Tu est un vrai démon. Les hommes n'avaient aucune chance contre toi... Tu est le meilleur.
- Tu savait que j'allait venir tôt ou tard te chercher même au fond de ton antre... Mais tu n'a pas fui... pourquoi ?
- Même si j'avais fui à l'autre bout de du continant et m'était caché, tu m'aurai retrouvé, en mettant ton énorme potentiel contre moi. Même une organisation plus grande et plus organisée n'aurai pu contrer ta volontée. Tu as une force de volontée prodigieuse. En temps normale, j'aurai pu te demander de nous rejoindre. Mais je comprend tes rancoeurs. Et je suis fatigué. Fatigué de faire tout ça. Tout cet argent pour finalement mourir sans avoir le temps de le dépenser. Car les gens comme moi meurent plus vite que les autres. Je me faisait vieux et craignait de ne pas mourir comme un homme. D'un coté, mes erreurs m'ont permis d'obtenir ce que je veux.
- Tu as raison. Il faut accomplir ses convictions jusqu'au bout. Je te respecte pour cela. Mais malheureusement, dans moins de trente minutes, beaucoup de forces feront irruption dans cette ville pour comprendre ce carnage... Je devrait disparaître. Je dois en finir avec toi.
- Je ne chercherait pas à résister. Je veux mourir dignement. En te regardant dans les yeux. Mais une question me reste dans la tête. Fais moi l'honneur de répondre en dernière volontée.
- J'accepte, vieillard.
- Que va tu faire... après ? Que va t'il advenir de toi, le jeune homme qui à vaincu toute une organisation à lui tout seul ? pourra tu vivre normalement avec ce lourd passé ? "

je le regarde. Il n'a pas faux. me touche droit au coeur. à sa façon. Mais je m'accroche. Je pense au pourquoi. repense à mes parents. A eux deux. A la vie avec eux. Ce que je faisait. Ce que je partagait avec mon père. L'amour de ma mère. Je suis presque perturbé. Mais je tiens bon. Relève mon arme sur lui, ne lâchant pas le regard.

" - je n'oublirait jamais ce qu'il s'est passé ici. Jamais. Mais je n'aurait plus aucune raison de m'apitoyer sur le passé. Je viverait pour les événements présents. Réécrire mon histoire. Sans relever mon passé.
- hmm... tu as raison. Tu est vraiment quelqu'un d'exceptionnel. Maintenant, je ne te ferai plus perdre de temps. Tue moi. "

Je le regarde. Mon arme se baisse. Mais il ne tente rien. Il sait que de toute façon, tout est déja tracé. Je reprend mon esprit. Je dois le faire. Je relève mon arme péniblement. Vers la tête. Je regarde, le doigt sur la gachette. Je le regarde. Je n'arrive pas à tirer. Mes yeux perlent d'une larme chacun. Encore cette saleté d'émotion. L'homme me regarde tristement. Il comprend que je n'arrive pas. Je n'en ai plus la force. Il me parle d'une voix basse.

" - Je comprend. Je... Je vais t'aider. Adieu. "

Tout se passe très vite. Mais j'ai l'impression de voir ce qu'il se passe au ralenti. Il sort une arme de sa veste. Mais il ne la braque pas sur moi. Il la met sur sa tempe. Sans lâcher son regard. Un sourire triste aux lèvres. Il tire. La balle traverse sa tête. Le fait tomber. Mes yeux sont écarquillés. Je n'ai pas eu le temps d'agir. Pas la force de finir le travail. Mais tout est fini. Ils sont morts. Tous morts.



Quelques minutes après. Dans la ville. Des aggroupements de personnes. Ils regardent. Eteignent les feux sur les restes de bâtiments comme ils peuvent. Les plus courageux cherchent des survivants dans les amas de cadavres, dans tous les batiments, passant dans l'hôtel, et le sous-terrain. Ne comprenant pas ce qu'il avait pu se passer. Ils parlent entre eux. Certains ont peur. D'autres méfiants. Je me suis mêlé à la foule. Regarde et écoute. S'ils savaient... Mon visage est encore rouge à cause des larmes qui j'ai versé silencieusement. Mais je suis discret. Je finit par repartir.




Si vous lisez ce journal, c'est que vous l'avez trouvé par hasard ou que je suis mort et que je vous ai donné son emplacement. Ceci est mon héritage. Celle ville, je le sais en écrivant ces dernières lignes, n'a jamais été reconstruite. Les légendes nourissant la peur. Mais tout ce que vous avez lu est vrai. Les rumeurs ne sont que chimères. Il ne faut croire que les faits. Croyez ce que vous avez lu. Croyez MON histoire.

Louis Higgins


------------------------------------------------------------------------------------

Acceptée
Merci de fournir 4 compétences et une transe à Saix.

Mon Dieu je viens juste de voir la taille de ton test RP Oo Eh ben y a des inspiré partout >> (ce qui n'est plus mon cas depuis au moins deux semines...)

Bienvenue meme si on s'est deja parlé ^^ (enfin je pense...)
Si ça te dérange pas, j'envoie Fran dans ton topic a Prt Royal.

merciiiiii ! :-D ! je ne pense pas qu'on s'est déja parlé ( ou bien je m'en rapelle pas... pt'être sur le t'chat ^^ )

oui pas de problème ! :-D